Autrefois la généalogie était réservée aux grandes familles. Elle est en train de devenir un phénomène de Société. Le virus de la généalogie a fait une timide apparition au cours des années soixante, pour devenir épidémique dans les années quatre-vingt. On peu supposer que cela correspond à un besoin.

C’est en tout cas un jeu de piste passionnant et plein de surprises. C’est à la fois mener une enquête minutieuse, percer les mystères de son identité, se faire plaisir et passer le temps de façon intelligente. Et contrairement à ce que pensent les détracteurs, ce n’est pas vivre avec les morts, c’est au contraire retrouver, grâce à la généalogie, des cousins bien vivants, souvent que l’on a croisé en ignorant le lien. C’est retourner sur les lieux de vie nos ancêtres, visiter des villages où l’on ne serait jamais venus. C’est faire partie de cercles généalogiques où les contacts sont nombreux, amicaux ; avec internet. c’est avoir un regard sur le monde entier et pouvoir retrouver des cousins étrangers.

J’ai commencé la généalogie tout à fait par hasard ; enfin c’est ce que je croyais.

Cette en vie de connaître mes ancêtres devait être enfouie dans mon subconscient depuis longtemps, mais l’élément déclencheur fut une mutation de mon mari, en 1982, à Toulon.

Ma grand-mère maternelle, en apprenant la nouvelle, s’est exclamée : « Eh bien, je pourrai ainsi me recueillir sur la tombe de mes parents ! »

Je suis tombée des nues, j’ignorais que mes arrières grands parents étaient décédés à Toulon, puisque mes proches et moi-même étions nés à Montpellier. Après avoir recherché, l’emplacement de leur sépulture, j’ai voulu connaitre la maison où ils habitaient et ainsi de suite…, les actes de décès…, l’acte de mariage… , les actes de naissances…, etc. Je venais de mettre le doigt dans le plus passionnant jeu de piste que je connaisse.

Maintenant, cela fait 25 ans que je cherche et si vous le désirez, je vais vous faire profiter de mon expérience en guidant vos premiers pas en généalogie.