L’historiographie contemporaine autour du Mikve Médiéval de Montpellier
L’historiographie contemporaine autour du Mikvé Médiéval de Montpellier
* Directeur de recherche émérite CNRS-LEM (UMR 8584).
Membre de l’Académie des Sciences et Lettres de Montpellier depuis mai 2014.
[ Texte intégral ]
Le 30 septembre 2008, à la Société archéologique de Montpellier, Jean Nougaret faisait une belle conférence sur « L’église Notre-Dame des Tables, fondatrice de la ville de Montpellier », qui tint une place exceptionnelle, due à la fois à son ancienneté et à la ferveur de la dévotion à la Vierge noire, vénérée depuis le XIIe siècle par la population locale et par de nombreux pèlerins.
Développant tous les aspects de la vie religieuse à Montpellier au XIIIe siècle, il n’avait pas manqué de mentionner la synagogue médiévale de la rue de la Barralerie, autre lieu de culte contemporain d’une communauté oscillant, au XIIIe siècle, entre 600 et 1 000 individus. Brossant à grands traits son histoire, il avait évoqué très justement les études traditionnelles (biblique, talmudique et exégétique) développées en son sein, puis la transmission des sciences gréco-arabes mise en œuvre par des réfugiés juifs andalous multi-linguistes, l’éventail des métiers pratiqués (artisans, médecins, prêteurs) et la fin d’une présence juive remontant jusque vers 1121, à laquelle l’édit de Philippe le Bel mit un terme brutal en 1306, même si tout le XIVe siècle allait être ponctué de rappels (1315, 1359) et de renvois (1322, puis 1394 – celui-là définitif prononcé par Charles VI dit le Fou).
Très au fait de l’évolution du quartier juif médiéval, Jean Nougaret n’avait pas omis de signaler le déplacement imposé de Castel Moton, autour de 1365, vers les rues de Ratte et de l’Intendance, annonçant « une étude de bâti » pour retrouver les structures de l’ancienne synagogue, avec ses dépendances : maison de l’Aumône et maison d’Études (citées autant par les sources latines qu’hébraïques), tout un ensemble cultuel juif situé au n° 1 de la rue de la Barralerie constituant, selon ses termes, « un des secrets de cet immeuble du XVIIIe siècle ». Depuis l’acquisition par la Ville de Montpellier en 1998 de cet édifice et son classement au titre des monuments historiques en mai 2004, les travaux se sont multipliés.
Pour rendre hommage à la mémoire de ce conservateur en chef qui fut, sa vie durant, un ardent défenseur du patrimoine local, et puisqu’une deuxième entreprise de fouilles s’est effectuée depuis à la Barralerie, dans les années 2008-2009, tandis qu’une troisième campagne était annoncée pour l’été 2016, j’ai pensé utile de faire l’état historiographique du dossier, parce que ce mikvé qui se trouve en sous-sol, conservé par-delà les siècles, et superbement restauré lors du Millénaire de la ville en 1985, a suscité depuis trente ans de très nombreux travaux (fig. 1).
Les premières études
On ne peut faire l’impasse sur le témoignage du chanoine Charles d’Aigrefeuille, tant la description qu’il a faite, en 1737, du mikvé ou « piscine des juzioles » est saisissante de réalisme, et s’applique en tous points à l’édifice restauré et remis en état deux siècles et demi plus tard :
« Le plus ancien monument qu’ils nous ayent laissé, se voit dans la “Maison de Montade”, qui se présente en face, lorsqu’on vient par la rue du Puits-des-Esquilles. On y trouve des voûtes-soûterraines, qui répondent à un grand puits, d’où l’on tiroit de l’eau pour servir à la purification des femmes juives : tout-à-l’entour, elles avoient des cabinets pour se déshabiller ; et dans les murailles de ces cabines, il y a des niches, où l’on mettoit du feu pour les chaufer, & des lampes pour les éclairer ; à côté, on trouve une plus grande voûte, où il y a quatre ouvertures au haut, par où les femmes juives entendoient la prédication du rabin, de la même manière qu’elles font encore dans la juiverie d’Avignon. 1 »
Par la suite, les études de Salomon Kahn 2, rabbin de Nîmes, du docteur Léon Coste 3 et de Louise Guiraud 4 ont constitué, parmi d’autres, autant de jalons précieux et éclairants pour appréhender étape par étape l’histoire de l’habitat juif de la Barralerie, et de ce bain rituel appelé mikvé, vocable hébraïque signifiant : « agglomération des eaux ».
Au temps de sa restauration en 1985 5, lors du Millénaire de la ville et de la tenue du colloque international Les Juifs à Montpellier et dans le Languedoc du Moyen Âge à nos jours, avec réhabilitation et ouverture au public, un premier bilan avait été tenté (1987-1988) 6, suivi de quelques études faisant « l’état des lieux » et des investigations en cours 7.
En tout cas, sis au cœur de la vieille ville, dans la partie aragonaise, entre les marchés et le palais, le mikvé montpelliérain, avec son escalier de belle facture qui descend en sous-sol vers le bain, la salle déshabilloir pourvue de niches dans ses murs et ornée d’une fenêtre géminée avec colonnette médiane, l’eau limpide, couleur vert d’eau de son bassin proprement dit, est devenu une référence typologique pour prouver ou démontrer ailleurs l’existence de bains similaires.
Comment ne pas évoquer en outre la vaisselle en bois trouvée dans le puits de la maison mitoyenne et qui interpelle le chercheur ? Les spécialistes 8 certes n’y ont vu aucun lien avec la communauté juive voisine. Datée du XIIIe siècle, lorsque les juifs résident rue de la Barralerie dans une certaine quiétude, on y trouve des faïences estampillées aux armes de Marie de Montpellier décédée en 1213, puis aux armes associées des Guilhem de Montpellier et des rois d’Aragon et de Majorque. L’ensemble est conservé au musée de la Société archéologique de Montpellier.
Les premières fouilles autour du mikvé et de la synagogue, 2000
Il est admis grâce à la documentation que les lieux sont assurés topographiquement, dès lors que rue de la Sabbatarie neuve (actuelle rue de la Barralerie), un acte enregistré chez notaire en 1277 mentionnait la vente d’une demeure « jouxtant la synagoga judeorum, et destinée à devenir la domus helemosine ». Cette localisation en ces lieux a été corroborée par un article récent de Jean-Louis Vayssettes, à propos d’une maison signalée dans un testament d’avril 1292 extrait des Archives municipales et dont l’emplacement ne fait aucun doute : « face aux balneis judeorum », ce qui correspond « exactement au mikvé de la rue de la Barralerie » 9.
La première analyse archéologique, élaborée en 2000 par Astrid Huser de l’INRAP, avait suscité un document final de synthèse 10, soulignant les différents remembrements antérieurs à la transformation en hôtel particulier, et offrant alors de multiples pistes pour localiser la synagogue. Il avait été suivi de diverses études en 2007 et 2009 11 sur le thème, sur la portée, la signification et la symbolique d’un mikvé en général, et de celui de Montpellier en particulier 12.
La deuxième campagne de fouilles, 2009
Préalable nécessaire à toute programmation ultérieure de réaffectation, la Ville de Montpellier avait souhaité dans une seconde étape entreprendre la restauration de l’ensemble médiéval du n° 1 de la rue de la Barralerie afin de tenter de restituer, au plus près des dispositions initiales, les grands volumes emblématiques, l’accès originel au mikvé, au lieu de culte judaïque, dans le but de pouvoir créer tout à la fois structure d’accueil, services de qualité, et surtout à terme présentation de type muséal de la place occupée par le noyau juif, dans l’histoire médiévale de la ville.
C’est ainsi que de nouvelles investigations archéologiques ont été réalisées en étroite relation avec les services de la Ville (Mission Grand Cœur), de la DRAC, et de l’architecte en chef des Monuments historiques. L’équipe archéologique requise pour tenter de retrouver l’ensemble cultuel hébraïque signalé par les documents d’archives a œuvré sous la tutelle du LAMM d’Aix-en-Provence 13, complétant ainsi (et réfutant aussi par endroits) les plans et documents dressés auparavant par Alain Gensac et Astrid Huser. Le dossier, suivi par Philippe Saurel, alors adjoint à la Culture et actuellement maire de la ville, n’en finit pas de susciter toujours l’intérêt des chercheurs, historiens et archéologues 14.
L’équipe responsable des fouilles est parvenue aux conclusions (temporaires) suivantes : l’espace étudié aurait pu certes être occupé par la synagogue « comme de nombreux textes l’attestent sans que l’architecture l’exprime ». Ce qui revient à dire que l’entreprise est complexe et ardue ; en tenant compte naturellement de la longue série de remaniements, d’ajouts et de transformations, de la superposition de structures issues de modifications successives, la construction la plus ancienne à ce jour identifiable reste à terme le bain rituel de la communauté juive de la fin du XIIe siècle.
Si les enseignements issus de ces dernières investigations archéologiques apportent en définitive autant de certitudes que d’incertitudes, de nouvelles avancées ont tout de même été faites aux abords immédiats du bain rituel : une construction circulaire de 3,40 mètres de largeur, totalement enfouie, a été mise en évidence au niveau de l’ancien rezde-chaussée médiéval ; utilisée à la même époque que le mikvé, sa fonction véritable n’est pas définie pour l’heure : pédiluve ? Autre dispositif rituel de purification ? Cuve pour la vinification ? Sa date d’abandon, traduite par des indices archéologiques (céramiques des XIIIe-XIVe siècles), renvoie à un événement de grande ampleur perçu également au niveau du mikvé lui-même : recouvrement définitif du sol d’utilisation, au tournant des XIIIe et XIVe siècles, et enfouissement (précipité ?) d’une trappe aménagée dans la voûte. Il est tentant de songer « pour cet événement de grande ampleur » à l’expulsion de 1306.
Par ailleurs, dans la salle des conférences utilisée un moment par l’Institut Maïmonide (dite « salle des Trois Arches »), un sondage a permis d’authentifier un sol ancien (également remblayé à partir du XIVe siècle et jusqu’au XVe siècle, où une nouvelle occupation des lieux s’amorce), qui a pu fonctionner à la même époque que le bassin et qui s’inscrit dans un volume monumental, avec arcs construits en pierre de taille et portail imposant. Son origine médiévale est fortement présumée. Là encore, il est tentant d’imaginer le lieu synagogal.
La sensibilisation du public au dossier : les vitrines didactiques, 2008
À l’angle des rues de la Barralerie et du palais des Guilhem, furent réalisés sept panneaux conçus pour la Ville par l’agence Anatome, dont le contenu a été élaboré (textes, iconographie et légendes) par l’Institut Maïmonide, installé dans l’immeuble depuis l’année 2000 par le regretté Georges Frêche, et l’Équipe CNRS « Nouvelle Gallia Judaica », sise en ces lieux aussi depuis l’année 2003. Ces vitrines rappellent « l’importance de la minorité juive médiévale, dans son assise matérielle et communautaire, et restituent l’ampleur de son rayonnement spirituel et intellectuel dans une société chrétienne assez tolérante à l’époque aragonaise, et qui s’est considérablement durcie après 1349 », comme l’a écrit Michaël Iancu 15.
Ce travail de valorisation, de diffusion de la culture et d’annonce de travaux archéologiques dans la cité fut destiné à restituer les riches heures médiévales de la communauté juive montpelliéraine, et à sensibiliser les passants aux fouilles en cours autour de la synagogue médiévale, en proposant dans le temps une évaluation prudente : « 985-2015 » pour la restauration de l’ensemble synagogal médiéval. Les titres de ces panneaux sont suggestifs et évocateurs : « Le Montpellier hébraïque », « L’histoire d’un quartier », « Une terre d’accueil », « Les passeurs de culture », « Le mikvé médiéval », « Un lieu symbolique » et « La médecine à Montpellier ».
La nouvelle Histoire de Montpellier, 2016
L’histoire des lieux de mémoire juifs médiévaux a indéniablement progressé, depuis trente ans, et motivé bien des chercheurs, historiens et archéologues. On ne peut que se satisfaire de cette avancée des recherches et des investigations. Alors que dans la précédente Histoire de Montpellier 16 publiée en 1984, la place accordée à la présence médiévale des juifs dans la ville a été ténue, quoique tout de même abordée dans un court paragraphe par le regretté Guy Romestan 17, l’édition de 2016 impulsée par le nouveau maire Philippe Saurel, sous la direction de Christian Amalvi et de Rémy Pech 18, a réservé un large pan sur « Les juifs », traité du reste sur la longue durée (époques médiévale, moderne et contemporaine) et confié à Michaël Iancu. Cette connaissance accrue est le résultat tangible de tous les travaux et investissements de ces dernières décennies, qui se sont élargis et développés, tant autour du mikvé médiéval que pour la période de la guerre.
Aujourd’hui, la ville s’enorgueillit du mikvé réhabilité et ouvert aux visites par le biais de l’Office du Tourisme. Lors des Journées du Patrimoine d’automne, il y a foule pour descendre dans le sous-sol de l’immeuble, et l’affluence du public est impressionnante à chaque saison, deuxième en importance après la visite de la crypte Notre-Dame des Tables (contemporaine du mikvé), sous l’actuelle place Jean-Jaurès, seul vestige subsistant de ce sanctuaire le plus célèbre de la ville qui abrita au début du XVIIIe siècle la conversion d’une juive comtadine 19. Il reste à formuler le vœu pieux que la troisième tranche de fouilles parvienne à élucider les questions en suspens, et à localiser à sa juste place, rue de la Barralerie, la synagoga judeorum et la domus helemosine, citées dans le document notarié de 1277, et que la mention testamentaire de 1292 sur les balneis judeorum est venue renforcer.
NOTES
1. Aigrefeuille, Charles d’Histoire de la ville de Montpellier depuis son origine jusqu’à notre tems, avec un abrégé historique…. Montpellier, Jean Martel, 1737, in-fol., rééd. Montpellier, C. Coulet, 1877, réimpr. Marseille, Laffitte reprints, 1976, vol. 2, p. 349.
2. Kahn, Salomon, « Documents inédits sur les Juifs de Montpellier au Moyen Âge », Revue des études juives, 19 (1889), p. 259-281 ; 22 (1891), p. 264-279 ; 23 (1891), p. 265-278 et 1892, p. 3-18 ; 28 (1894), p. 118-141 ; et Les écoles juives et la Faculté de médecine de Montpellier, Montpellier, impr. G. Firmin et Montane, 1890, 14 p.
3. Coste, Léon, « Les transformations de Montpellier », extraits du Bulletin de la Société languedocienne de Géographie, 1891-1893.
4. Guiraud, Louise, « Recherches topographiques sur Montpellier au Moyen Âge », Mémoires de la Société archéologique de Montpellier, 2e série, t. 1, 1899, p. 329, n° IX.
5. À laquelle a pu œuvrer avec talent notre ami Alain Gensac, alors architecte en chef de la Ville.
6. Iancu-Agou, Danièle, « Le mikvé .raine au Moyen Âge », Bulletin Historique de la ville de Montpellier, 1987, n° 7 spécial, p. 5-13, et « Le mikvé et l’évolution du quartier juif médiéval à Montpellier » dans Iancu, Carol (dir.), Les Juifs à Montpellier et dans le Languedoc. Du Moyen Âge à nos jours, Montpellier, UPV, CREJH, 1988, p. 72-92.
7. Iancu-Agou, Danièle, « L’ensemble cultuel de Montpellier », dans « Monuments Historiques, Le patrimoine juif français, n° 191, 1994, p. Montpellier », et Gensac, Alain, « L’ensemble cultuel hébraïque médiéval de Montpellier », dans Polonovski, Max (éd.), Le patrimoine juif médiéval européen (Actes du Colloque international de Paris, Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, 26-28 avril 1999), Paris-Louvain, Peeters, 2002, respectivement p. 285-293 et p. 295-305. Cf. également Iancu-Agou, Danièle, « Les juifs à Montpellier à la fin du XIVe siècle », dans Dahan, Gilbert (dir.), L’expulsion des Juifs de France. 1394, Paris, Cerf, coll. Nouvelle Gallia Judaica, n° 2, 2004, p. 51-64.
8. Leenhardt, Marie, Leguilloux, Martine, Vallauri, Luce, Vayssettes, Jean-Louis, Waksman, S. Yona et Merle-Thirion, Valérie, « Un puits : reflet de la vie quotidienne à Montpellier au XIIIe siècle », Archéologie du Midi médiéval, XVII, 1999, p. 109-186.
9. Vayssettes, Jean-Louis, « Une mention médiévale des bains juifs de Montpellier et nouvelles interprétations topographiques », dans Iancu-Agou, Danièle (dir.), avec la collaboration de Nicolas, Élie, Philippe le Bel et les Juifs du royaume de France (1306), Paris, Cerf, coll. Nouvelle Gallia Judaica, n° 7, 2012, p. 31-41.
10. Huser, Astrid, avec la collaboration de Vayssettes, Jean-Louis et de Iancu-Agou, Danièle, Document final de synthèse, Étude de bâti. Mikvé et synagogue : quartier médiéval juif à Montpellier (Hérault), Montpellier, Ministère de la Culture et de la Communication. Service régional de l’archéologie /AFAN Méditerranée-Nîmes / Ville de Montpellier, 2000.
11. Huser, Astrid, « L’ensemble cultuel médiéval juif de Montpellier », dans Médiéval Europe Paris 2007, Actes collectifs, INRAP, 2007 ; et « L’ensemble cultuel de Montpellier », Archéopages, 25, avril 2009, p. 32-33.
12. Iancu, Michaël, « La pureté rituelle et le mikvé de Montpellier », Dossier Les Juifs en France au Moyen Âge, dans Religions et Histoire, 12, janvier-février 2007, p. 24-27.
13. Ayasse, A., Gomez, M., Hartmann-Virnich, Andreas, Markiewicz, Christian et Pribetich-Aznar, Cl., Étude archéologique du complexe médiéval, 1, rue Barralerie. Phase 1. Rapport final d’opération, Aix-en-Provence, LAMM (Laboratoire d’archéologie médiévale méditerranéenne) d’Aix-en-Provence, CNRS UMR 6572, mai 2010.
14. Iancu, Michaël, « La synagogue médiévale de Montpellier », dans Salmona, Paul et Sigal, Laurence (dir.), L’archéologie du judaïsme en France et en Europe, Paris, La Découverte (MAHJ et INRAP), 2011, p. 169-176 et p. 332 ; et Iancu-Agou, Danièle, « Que reste-t-il de l’âge d’or médiéval du judaïsme montpelliérain ? Archives et vestiges », dans Iancu-Agou, Danièle (dir.), avec la collaboration de Nicolas, Élie, Philippe le Bel et les Juifs du royaume de France (1306), op. cit., p. 19-30.
15. Iancu, Michaël, « La synagogue médiévale de Montpellier », dans Salmona, Paul et Sigal, Laurence (dir.), L’archéologie du judaïsme…, op. cit., 2011, p. 176.
16. Volume collectif sous la direction de Cholvy, Gérard, Toulouse, Privat, 1984, 435 p.
17. Dans le chapitre II « Sous les rois d’Aragon et de Majorque (12041349) », développé par Romestan, Guy, p. 39-69, cf. le paragraphe : “Et les autres”, p. 60-61.
18. Amalvi, Christian et Pech, Rémy (dir.), préface de Saurel, Philippe, Histoire de Montpellier, Toulouse, Privat, 2016, 928 p. Cf. de Iancu, Michaël, p. 97-107, « Le judaïsme à Montpellier au Moyen Âge » ; p. 211-212, « La communauté juive à l’époque moderne » ; et p. 575580, « Les épreuves de la guerre et la renaissance du judaïsme à Montpellier ».
19. Iancu, Michaël, « Une conversion à Montpellier en 1707 à l’église Notre-Dame des Tables », dans Iancu-Agou, Danièle et Iancu, Carol (dir.), L’écriture de l’Histoire juive. Mélanges en l’honneur de Gérard Nahon, Paris-Louvain, Éd. Peeters, 2012, p. 507-512.